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Clients virtuels

Retour à la ville, et à ses rues commerçantes.
Mardi matin, soleil timide, la rue du Poteau s'éveille tranquillement. Entre une boutique bio et un tout-à-dix-balles, Marionnaud est fidèle au poste, il salue les passants avec sa nouvelle accroche commerciale.

Ce qu'il y a d'unique, chez nous, c'est vous.

L'agence de pub a dû se creuser la tête pour trouver ça, j'imagine qu'on a dû pondre du powerpoint à base d'orientation client et de service one-to-one. Un junior a sûrement lâché une petite tirade sur l'interaction entre réel et virtuel, en rappelant en clin d'oeil le concept de visiteur unique.

Du coup, j'ai voulu vérifier. C'était presque ça. A une cliente près.
La seule chose qui était unique dans le magasin, c'était la vendeuse qui se faisait les ongles.
Alors j'ai continué mon chemin vers l'Humeur vagabonde.

Commentaires

  • Marionnaud, no no!

  • Dis donc, j'ai presque envie de transgresser et de te faire un petit LOL...
    D'autant que ça me rappelle les good old days où j'habitait 100 rue Ordener et que le marché de la rue du Poteau n'était pas encore bobo...
    (ne commente-t-on sur les blogs des autres que pour parler de soi?...)

  • On commente pour chercher des longueurs d'onde, non ?
    (bizarrement je ne vais jamais rue du poteau les jours de marché - mais je tiens la comptabilité des commerces bio qui s'installent...)

  • si la vendeuse se fait les ongles, on parle de "client centricity". si la vendeuse se cure le nez, on parle de "client intimacy". il s'agit donc bien la de "client centricity".

  • Mais que faut-il donc qu'elle fasse pour enhancer la client loyalty ?

  • bordel, j'ai une folle envie d'être super forte en power point

  • On croit que c'est technique mais non, c'est un état d'esprit...

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