(Avertissement public sensible : ceci est une page de pub aussi éhontée que méritée. Profitez-en, c’est rare et ça le restera)
Sous la lettre d’Alice il y avait une autre surprise – ou plutôt un pli que j’attendais depuis longtemps : le numéro 30 de Décapage.
J’aurais pu vous en parler illico, mais je ne voulais pas faire ma Daniela Lumbroso ("courez-y, ça a l’air génial!"), alors j’ai attendu de l’avoir lu. Et comme toujours, je n’ai pas été déçu : quelques découvertes (ce mois-ci, Alexandre Gouzou), quelques sourires en coin, quelques idées à mettre de côté et l’envie de faire un peu de prosélytisme sans élitisme.
Décapage, donc, c’est cette revue dont lss auteurs n’oublient pas qu’ils s’adressent à des lecteurs. Et quand parfois ils oublient on leur pardonne, parce que c’est court et que faire court - surtout pour une revue - c’est un signe de politesse.
Décapage, c’est aussi la seul revue que je connaisse dont l’abonnement coûte plus cher que le prix au numéro, mais c’est parce que le prix (3€) est ridiculement bas.
Message codé - Avec ce N° 30, Décapage prouve que le cap de la trentaine n’est difficile que pour ceux qui lisent trop les magazines. D’ailleurs on aimerait bien qu’ils cèdent un peu aux modes. Avec un numéro hors-série, par exemple, qui reprendrait le meilleur des 30 premières parutions. (je dis ça parce qu’il paraît qu’un tel numéro circule sous le manteau, et que les manteaux, c’est la saison.)
Bref ! Je ne peux que vous encourager à vous abonner à Décapage...
Ou alors, pour faire d’une pierre deux coups, vous pouvez vous procurer le N°30 à la librairie du Dilettante, rue Racine.
Allez, jingle. Bonnes lectures, et bonne semaine.
PS – Je n’ai pas encore trouvé ce que je ferai des 20 euros d’Alice.
J’en donnerai peut-être une partie à Neuf Télécom, qui vient de me facturer 1,07 euros un appel téléphonique (à un numéro inconnu) d’une durée de... 0 seconde. Ça décape.
Commentaires
Perso, je préfère Let Them eat Cake.
g.
Il y a quelques semaines en faisant le ménage dans les bas-fonds de mon ordi, j'ai trouvé un dessin, où des tas de M. LeNeuf en rang d'oignon attendaient réparation pour appel intempestif. On n'en entend plus parler mais c'est sur que ça doit avoir un coup. En cas de problèmes récurrents, il faudrait peut-être penser à la concurrence. Comme disait le chanteur des Who Roger Daltrey "I'm free !!!!"
Moi aussi, je l'ai reçu le nouveau bijou... Je suis très friand de cette gourmandise là. Je "Mandorise" son rédac chef la semaine prochaine car il le vaut bien!
'tain, t'es bavard au téléphone. O seconde!!!
> gaBree : heu... de la brioche? on ne m'en a pas proposé une part ;)
> Cassiopée : qui vole un Neuf... ah non, là c'est l'inverse... je vais bientôt voir quelle musique d'attente ils me proposent...
> Mandor : ça alors ! je srais presque jaloux, là ;-)
(bavard, parfois, mais à ce prix-là je préfère men tenir à l'essentiel !)
c'est long la coupure pub chez vous pdf.
... et mensonger ! Je me suis rendue cet am dans une librairie sensée diffuser LA revue. Point de numéro 30.
Je suis quand même repartie avec la mère Michel et le joli hérisson dont vous nous vantiez la profondeur tantôt.
Je retourne sous la couette m'y replonger.
A bientôt
ça vous apprendra à appeler des inconnu(e)s puis à raccrocher sans un mot ;-) Non mais !
Est-ce que ça te dit vaguement quelque chose ?
g.
[On peut voir à quoi ressemble ma chambre en page 62]
(c'était donc ça!)
(suite de la page de pub) Il y a le FORMIDABLE Philippe Lafitte, aussi. Sa nouvelle m'a scotché, une fois de plus (j'ai découvert il y a peu que la nouvelle qu'il avait offert au n°29 était sur son site : http://philippelafitte.free.fr/autrestextes.html)
> Petite Brune : c'est que je m'entraîne au publi-reportage... ;-)
> Zel : vous aurez peut-être des suggestions à faire quant à la diffusion...
(et sinon, ce hérisson sous la couette ?)
> Esperluette : je faisais cette blague, quand j'étais en primaire, mais ça coûtait moins cher, je pense...
> gaBree : Google m'en avait parlé, en effet... (dis-donc, tu vas te faire chambrer, après ta dernière note!)
> AD : eh oui!
(lu Ph. Lafitte hier - mais ce n'était déjà plus vraiment une découverte)
Trop facile, on est d'accord.
g.