Pendant des siècles, la Suède et la Russie se sont disputé la Finlande.
Aujourd'hui, ce serait plutôt Clearchannel et JCDecaux.
Et c'est très pénible, quand on se déplace un peu au hasard avec un plan approximatif, de voir que deux arrêts de bus sur trois s'appellent JCDecaux.
(Sinon ça va, merci)
Bon, promis, j'en ai de (beaucoup) plus belles, de cartes postales, mais vous savez ce que c'est - la poste est toujours un peu plus lente, au mois d'août.
En bonus parce que je suis sympa, cette installation de Jani Leinonen (tout est en fil électrique) ou ce Darth Vador d'Anssi Kasitonni (admirer le pas martial du "plus gros casque du village"). A Helsinki, l'air est frais, l'art aussi. Salut.
Commentaires
"Kylän suurin kypärä ja letku letkeä"? Ils sont forts en titre, ces Finlandais. J'aurais pas fait mieux.
(merci pour ces deux morceaux de l'art!)
Au moins c'est honnête, on sait d'avance qui va remporter l'appel d'offre pour la fourniture des arrêts de bus...
> AD : ah mais de rien !
ils sont forts aussi en noms d'arrêts de bus (quand on peut les voir) : kauppakorkeakoulu, facile à retenir
> Blue Jam : il paraît que ça s'est échangé contre une concession Velib' à Stockholm...
"kauppakorkeakoulu" ? Trop fort. j'imagine trop un premier rencart de pré-ado qui se roulerait des pelles à "kauppakorkeakoulu". Inoubliable.
Enfin, pas pire que notre "Rif tranchard" de St-Egreve. Enorme ça aussi, pour un petit coup de foudre dément de derrière les fagots ("la fille de Rif Tranchard, quel regarddddddddddddd, la fille de Rif Tranchard m'a passé l'coeur au hachoiiiiir").
Et puis il me semble qu'on dit "finnois" parce qu'on parle de la langue ou bien ? (Love à Arto)
La bise au deuxième, etc.
PS : il faut absolument faire quelque chose pour le bandeau de pub qui s'affiche en haut de ce site. C'est pas la première fois que la pub des poubelles "No Touch" à 39 euros me pique les yeux. Faut pas abuser quand même (celui qui dit que c'est la faute à mes cookies, même pas vrai !)
(clique sur "vider la corbeille", peut-être...)
On roule de très belles pelles, à kauppakorkeakoulu, avec la langue (le finnois, donc), après avoir mangé un excellent gratin d'eau finlandais (et non finnois, dommage).
(bon allez, je repars)
(et Arto m'a parfaitement accompagné. "La douce empoisonneuse" se passe exactement là où mes pas m'ont conduit)