Arrivé à l’apogée de son amour avec Marie, le narrateur décide de se faire passer pour mort afin que leur amour reste éternellement pur.
Evidemment, quelques chapitres plus loin, il rencontre quelqu’un d’autre…
Il y a plein de choses dans ce roman : un cimetière, des bars, une agence immobilière, de l’amour, encore de l’amour, de l’humour, des sdf, un brin de fantastique, et surtout, surtout : de la fantaisie.
L’Amour est une maladie ordinaire, c’est un peu comme les bons Woody Allen : quelques ingrédients qui s’emboîtent à la perfection, un zeste de surprise pour relancer le rythme quand il le faut, et le plaisir d’une intelligence avec le sourire en coin.
Osez le slip, et portez-vous bien.
François Szabowski, L'Amour est une maladie ordinaire, Le Tripode