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Mulholland Drive

(Note pour un-jour-qui-sait...)

Pour un téléfilm, prendre des stéréotypes 

Pour un film de consommation courante, créer des personnages 

Pour un film d'art et essai, introduire des symboles

Pour un chef d'oeuvre, travailler ces symboles comme des personnages.

Commentaires

  • Se souvenir de tout cela, écrire.
    Quoi, je n'en ai aucune idée.

  • C'est vrai, on ne sait jamais et c'est tant mieux !

  • Damned je l'ai loupé hier... vais devoir demander à ma fournisseuse officielle de Lynch de me le passer (au fait puisque tu aimes ce réa, ma chronique de cette semaine sur Strictos va te plaire ^^)

  • Malheureusement, je crains que la majorité des gens se contentent des stéréotypes :(
    ...
    Et sinon...
    ...tu envisages un exercice de style en déclinant une même histoire selon ces quatre approches ?

  • > Génération / Nath : c'est en bougeant qu'on trouve l'énergie, oui : c'est ma grande découverte (pour l'instant théorique) de 2007).
    Et le meilleur moment de l'écriture reste celu-là : quand soudain jaillit quelque chose là où il n'y avait rien.

    > Dahlia : cela dit, la VF était un peu déroutante...
    (à bientôt en mode Confidentiel, alors)

    > Zag : hé... ce serait une excellente idée - si j'étais professeur.
    Pour l'heure j'espère juste avoir laissé loin derrière moi le premier stade, prêt à franchir petit à petit les suivants ;)

  • Joli ! :))

  • (Lila en passant rapidement). Monsieur Guillot, je suis en train de lire "Hors jeu" et je passe un excellent moment, vivement que je le retrouve ce soir d'ailleurs.(Comme je riais beaucoup "gratuitement" et apprécais les billets de ce blog, j'ai trouvé ça juste d'acquérir ce premier roman) BRAVO, la suite sera forcément prometteuse !

  • Moi aussi lila, je dors avec Bertrand en ce moment - Enfin, je sens bien qu'il n'est pas vraiment là. Trop occupé à muscler son jeu.

  • et bien moi qui ne l'ai pas loupé pour la 24ème fois... je me demande encore parfois comment le grand David fait pour, dans notre demi-sommeil, entrer ainsi dans têtes.

  • La première fois que j'ai emmenée ma mère au ciné et qu'elle a aimé mes goûts cinématographiques c'était un Lynch "Sailor et Lula".
    Ca marque ces souvenirs là :)

  • Pour un nanar > Travailler les stéréotypes comme des symboles

    ;)

    BizZ

  • Ah au fait...

    Une belle itw de Lynch dans les jardins de l'Elysée après sa décoration:

    http://www.elysee.fr/accueil/

    Et SarkoBoy toujours aussi exalté et faut que je montre que moi j'avais tout compis avant les autres:

    http://www.latribune.fr/info/Nicolas-Sarkozy-decore-David-Lynch-975-~-AP-CELEBRITES-CINEMA-LYNCH-SARKOZY-$Db=News/News.nsf-$Channel=Politique

  • Moi aussi j'ai loupé MD, je m'en suis rendue compte trop tard. Sinon, merci pour le lien Dahlia, édifiant! Pour bien comprendre ce que raconte Sarkosy, on peut s'aider d'un petit bréviaire :-) (avec des mots compliqués pour moi il est vrai...) http://arretsurimages.net/post/2007/09/22/Fragments-dun-discours-hasardeux-%3A-la-rhetorique-sarkozienne-decortiquee

  • :)

  • > Fashion : parfois comme ça une note nous vient toute prete dans la tête comme une évidence...

    > Lila : well... merci ! et "à ce soir", donc ;))

    > Brg : tu veux une couverture de plus ou c'est bon ? ;-)

    > Belami : j'ai laissé brûler mon dîner d'hier, scotché que j'étais devant cette scène où le mafieux italien recrache son café. tout simple, tout lent. génial. et je ne parle que de l'anecdotique...

    > Célinette : une des mes grandes déceptions cinématograhiques, S&L. Je me dis qu'un jour peut-être je le reverrai et que la lumière me viendra. Ce jour-là je saurai que j'ai encore grandi.

    > Fafa : (très) bien vu !!
    (on sent que tu as potassé ton Forestier...)

    > Dahlia : "de moi ou Lynch, lequel de nous deux est le plus spécial ?" énorme. (et une pièce de plus pour le musée ;)

    > Cassiopée : j'avais lu le texte de Judith Bernard, très juste, oui (ah! s'il y avait des vrais journalistes en face...)
    (s'il y avait des vrais journalistes...)

    > Charl' : toi-même!

  • Je ne savais pas que ça passait à la télé hier soir. N'ayant pas la télé, je préfère largement passer ma soirée avec des livres (d'ailleurs hier, j'ai failli acheter Hors Jeu, histoire de l'avoir dans ma bibliothèque. Mais sans dédicace, c'est triste ;-))

    Par contre, dès qu'on parle de ce film, des souvenirs de nombreuses soirées me reviennent en tête. Soirées où tout un chacun s'essayait à donner un raisonnement logique à ce film, une explication, quelque chose qui donnerait à ce film une normalité qui lui enlèverait toute sa valeur...

    Ceci dit, les 3h de son dernier sorti il y a quelques mois m'ont fait beaucoup trop peur et je n'ai même pas essayé! ;-)

  • ? (plusieurs questions de la symbolisation de ce point d'interrogation)
    :-)

  • > Emeraude : (si le premier paragrahe est un appel indirect, j'y réponds volontiers ;)
    J'ai un souvenir très fort des deux heures passées au café après Mulholland Drive, où après une discussion passionnée nous étions parvenus à une interprétation commune du film.
    J'ai passé ma soirée d'hier à retrouver, avec délectation, cette interprétation...

    > Virginie : à questions multiples réponse unique :
    !!
    ... en attendant une version développée, très bientôt ;-)
    (et oui j'ai pensé à toi en écrivant cette note)

  • "...?"

    :-)

  • je resterai donc la seule à trouver que la réputation de ce film est complètement surfaite...

  • C'est vrai que moi aussi j'ai oublié toutes les interprétations qui ont été données...

    et dans ce cas, oui, on peut dire que le premier paragraphe était un appel indirect ;-)

  • On n'est jamais sûr des recettes... jamais.
    Il n'y en a pas. Quand j'écris un roman policier (voir mon blog http://fine.bessot.over-blog.com) je ne me pose pas de question, j'ai mes personnages et vient ce qui vient, l'histoire m'emporte et je vais avec elle. Après l'explication de texte..... c'est au lecteur de la faire, s'il en a envi, seul le plaisir compte.... A bientôt.

  • > Virginie :

    "..."

    ;-)

  • > Lidell : bon, vraiment, là, il fait qu'on parle.

    > Emeraude : ah, ce moment où soudain est venue la lumière - bon sang mais c'est bien sûr, la blonde de la fin est la brune du début ! ...
    (il ne doit pas manquer d'occasion pour faire de nous des larrons, non ? ;)

    > Fine Bessot : (bienvenue) Je souscris à la conclusion.
    (en même temps, je n'appellerais pas "recette" cette courte note... ne serait-ce que parce que je n'aime pas les recettes)

  • Bon, c'est là que va venir mes "15 minutes of shame" (et pas of fame malheureusement...) c'est que je confonds sans cesse les films de Lynch.
    D'ailleurs, je ne me souviens même plus du titre de l'autre que j'ai vu.
    Alors mullolhand drive avec la brune de la fin qui est la blonde du début, c'est avec Bill Pullman, qui reçoit des K7 au début où il se voit en train de tuer sa femme et un clown vers le milieu ??

    Et mon appel indirect est resté sans réponse alors ? ;-)

  • Je n'ai pas fini : Je travaille déjà sous une couverture. Pour les tiennes, je veux bien une couverture de plus, la bleue, la verte, la orange, la framboise, l'abricot. Du moment que c'est mûr.

  • Et si tu cites Veyron, t'auras un gage.

  • > Emeraude : euh... pour les films te voilà aussi confuse que les scénarios de Lynch !
    Et l'appel indirect, passons donc sur le canal 26 (le mail, je veux dire ;))

    > Brg : eh ben, me voilà dans de beaux draps ! (comme dirait B. Lermitte)

  • au risque de revivre à nouveau quelques minutes "of shame", c'est quoi canal 26 ?

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