, ça finit toujours par se payer.
Mais une idée de roman, ça n'a pas de prix.
Laissez reposer, puis retirez lavez à grande eau, disait la recette l'autre jour. On va faire ça.
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, ça finit toujours par se payer.
Mais une idée de roman, ça n'a pas de prix.
Laissez reposer, puis retirez lavez à grande eau, disait la recette l'autre jour. On va faire ça.
Commentaires
Recette? Je puis témoigner que ta prose aérienne et sucrée n'a rien à voir avec ta cuisine indigeste du nord qui vous emplâtre le ventre avant que n'arrive le carrousel de bières....
En passant, deux mots.
Pour moi vous n'existez pas. Vous n'avez ni plume, ni lecture, ni aspiration, ni souffle, ni esprit. Vous ne faites pas. Vous n'écrivez pas. Enfin il n'y a rien, le néant absolu. Et c'est abyssal. Vous ne resterez pas, parce que vous n'aurez jamais été. Vous remuez vainement, et amusez seulement ceux qui vous entourent, ce petit monde gris et rose, d'ici et là. Ceux qui vous entourent. Ouvrez les yeux! Vous êtes à la littérature ce qu'un décor de carton-pâte est à la réalité. Revenez à votre place, et à votre métier qui est peut être utile aux hommes, mais bien dérisoire devant l'Art. Quelle immodestie chez vous, finalement! Quel aveuglement! Quelle obstination presque pathétique!...
En passant, donc. Je ne reviendrai plus, mais il fallait le dire, quand même, et c'est fait. J'ai ramené, et convoqué, la voix de ceux qui ne vous entourent pas. Qui ne vous ressemblent pas. Qui, en rien, ne se conforment à vous. Par le bas, ou par le haut, ils s'en échappent. Sortez donc, vous finirez par les entendre, et alors vous en prendrez leçon.
(Sachez, toutefois, que je ne vous incrimine pas, vous, à titre personnel. Je ne vous connais pas, vous m'êtes indifférent. Mais vos mots!...
Ne publiez pas ceci, si vous le souhaitez.
Ou alors publiez, et lâchez les chiens... Qu'importe, de tout ce qui vous entoure je vis sans peur)
Sympa la (truie) taupe. Du lard ou du cochon ?
Belle question que celle du "mérite" dans la littérature (mériter d'écrire, d'être lu et de se revendiquer auteur? mes mots sont imprécis mais peu importe puisque le monde ne comprendra que 30% de l'essence de mes paroles. Je tente tout de même). Mon point de vue sur la chose ? On a l'audace qu'on s'autorise, le souffle qui nous transporte, l'idée, l'envie, l'indéfectible satisfaction de provoquer un écho ailleurs & dans d'autres âmes, l'exigence personnelle de tomber pile, la liberté de rire ses pensées, le choix de prendre un recul infini pour observer le monde, en tirer parti, le vêtir de sa poésie.
Mais je n'ai sûrement pas compris lataupe.
Ne s'agissait-il que de se taire ?
Pour ma part, la délicate poésie du deuxième étage m'enchante tout à fait.
J'imagine que d'autres réactions s'agglutineront, volées de bois verts etc.
Alors que rire et reculer suffisent amplement.
> Castor : promis, tu auras du rab de welsh pour fêter ça
> Lataupe : pardonnez-moi, je ne lâcherai pas les chiens. Vous me prêtez des intentions et prétentions que je n'ai pas ("l'Art! rien que ça - je suis aussi minuscule que vous devant l'Art. quant à l'obstination... pardonnez-moi, c'est drôle). Vous avez raison, il n'y a rien de personnel. Manifestement quelques lignes ici ont réveillé en vous une haine tenace contre un certain archétype. Je vous laisse vous battre avec lui.
> Léo : sourire, c'est pas mal aussi. merci d'avoir "tenté" ; personnellement j'ai arrêté de tenter depuis longtemps - bien avant que lataupe ne m'ouvre les yeux, c'est dire. salutations !
@sf : "j'ai arrêté de tenter depuis longtemps"
hum... tu crois vraiment ? Tu me sembles bien mal placé pour déterminer si tu es tentant (ou pas)
;p
(le flegme et l'humilité de votre réaction montrent que vous n'êtes, peut-être, pas cet 'archétype' contre lequel, selon vous, je me bats. Dont acte, pour ma part)
La dépêche est tombée ce matin :
Sphères réelle en crise, les salariés séquestrent
les patrons.
Sphère imaginaire en marche, les muses séquestrent
les crivains, et toute la nuit !
(Dites-le si moi aussi je dois arrêter de tenter ! :)
> lataupe : (poignée de mains)
> Léo : joli ;-))
(le clin d'oeil idéal qui délivre du mal)
> Lola H : (sourcil froncé, ton ironiquement doctoral)
Hum... Une séquestration ? Dites m'en plus...
Il est étrange l'épithète "blanche". Exemples : une nuit blanche, une page blanche, etc.
Une année, une angine, une colombe. Ce qui m'étonne, surtout, c'est que le français ait retenu l'étymologie germanique plutôt que latine. Peut-être qu'au début du millénaire (l'autre) on voyait le blanc autrement...