Décidément, tu es impeillable.
Mais il faut partir, maintenant.
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Décidément, tu es impeillable.
Mais il faut partir, maintenant.
Commentaires
Bon, cher Nicolas D, ce n'est pas non plus très glorieux de jouer le "coup"... surtout pour attaquer comme les consfrères sur le mode "toute la presse ne parle que de ça...".
J'ai rêvé que vous (ou Thomas L) demandiez à SR quelles étaient les conclusions du rassemblement du WE, puisqu'il parait que ça causait Education. Evidemment elle aurait botté en touche ; au moins, ça se serait vu.
Mais donc, non.
Grr
Marrant, ce matin Christophe B. recevait Peillon et Vincent parlait des propos débattues ce week-end...
Pour Ségolène, je pense que le nouveau slogan serait "le PS, si tu l'aimes, tu le quittes...."
je ne suis pas du tout pour Ségolène mais je ne comprend pas pourquoi sa venue a déclanché les foudres. le plus sage aurait été de gentiment l'ignorer, me semble-t-il.
@sf : la technique de rétention des rêves a l'air de bien fonctionner au final.
(à part ça, "impeillable" me fait penser à "empaillée". Va comprendre...)
> Castor : le plus triste, c'est que tout ça était déjà écrit à Reims...
> Columbine : ... avec une meute de journalistes (dûment convoqués, j'imagine) à ses trousses? haha
> Léo : I had a dream...
(que Ségolène R disparaissait) (mais ça n'a pas marché)
Empaillé, je crois que je comprends très bien ;)
Un rapport avec le billet du 14 novembre ?
Je suis comme Columbine, je ne comprends pas, VP ne pouvait-il pas l'accueillir avec un grand sourire, ne serait-ce que pour sauver la face ? Pourquoi jouer à fond la carte de la guérilla interne qui nuit tant au PS ?
> Chr. B : hé non... le rêve, c'était juste avant que j'allume la radio ;)
> Lola : hum. alors imaginons plusieurs situations :
1. tu organises un dîner "dégustation de vins" avec plein d'amis, le principe étant en gros de se voir sans la copine S., qui fait chier son monde depuis 2 ans en ramenant tout à elle. et au fromage, elle arrive comme une fleur, sans bouteille mais avec la ferme intention que tout le monde l'écoute. tu aurais peut-être du mal à l'accueillir avec un grand sourire.
2. tu es un animal politique, tu as décidé d'écarter S de ton chemin et tu as l'occasion de planter le coup de couteau qui pourrait être fatal. ce serait une faute de ne pas le faire.
(évidemment, dans une guerre chacun estime tjs que c'est l'autre qui a commencé. mais depuis 2 ans, franchement, hein, à chaque fois que SR parle de "jouer collectif" j'ai des boutons. alors juste pour ma peau, si elle voulait bien de taire...)
1. Oui, bon, mais vu la situation du PS, ce genre de règlements de comptes devrait peut-être se faire "off the record".
2. Animal politique ou pas, et même dans l'hypothèse où VP penserait à se présenter aux primaires (par exemple, au hasard, au cas où les militants le soutiendraient, etc., etc.), à chaque fois qu'un membre du PS est dé-crédibilisé, c'est tout le PS qui est dé-crédibilisé, et son futur candidat pour les présidentielles du même coup.
Bref, en guise d'animal politique, il me semble qu'on a surtout au final un serpent qui se mord la queue.
Par ailleurs, contre les boutons, il y a le vote. En général, une bonne raclée citoyenne les fait taire.
Cf le Rétais déchu du 21 avril
Veille quand même à ne pas trop somatiser, avec l'approche des régionales, le festival ne fait que commencer, à gauche comme à droite ;-)
1. quand l'une vient avec ses journalistes, c'est dur...
2. évidemment (feuilleton en cours)
3. ... et le pire, c'est que les raclées ne changent rien (je m'en suis cruellement rendu compte (de l'intérieur) à maintes reprises)
1. Journalistes, justement, qui n'ont étonnamment pas remarqué qu'il s'agissait d'un meeting du courant "espoir à gauche", qu'elle a elle-même fondé, et dont elle avait seulement délégué le management à VP.
Le dîner, c'était chez elle ; de mon point du vue, les invités qui crachent dans la soupe, ça n'est pas très poli.
2. Suite du feuilleton : VP délicatement évincé de ce même courant espoir. On attend le prochain épisode.
3. Possible, oui. En attendant SR conserve tout de même un certain soutien des militants qui justifie un peu, quand même, ses prises de paroles. De là a toujours être d'accord avec elle, c'est un autre débat.
(bon, ok, c'est épidermique chez moi)
(physiquement, je veux dire)
(chaque fois que j'entendais "ordre juste" pendant la campagne, mes poils se hérissaient)
(Je peux fort bien le comprendre, mais personnellement, puisque je ne veux pas de Sarko, Hortefeux, Besson et Raoult, pour le coup je m'impose comme qui dirait un "devoir de réserve", mais je ne suis pas écrivain ;-)
Ce serait très bien qu'elle "foute le camp" effectivement....
> Lola H. : faut-il préciser que moi aussi ?
(et faut-il préciser qu'ils n'ont pas meilleure alliée objective que SR?)
> Minijupe : désir d'avenir !
Non.
(Non plus, mais là ce sont peut-être bien les socialistes eux-même qui en ont fait la meilleure alliée de NS à force de hurler avec les loups.)
Cher Secondflore,
Décidément, tu es indécrottable.
Le PS n'est pas de gauche.
Hé hé... Disons, à gauche de... Parce que quand même... Bon, c'est sûr que, mais... Enfin bref