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Le pain quotidien (daily pain)

(courte note au réveil, la gueule enfarinée)

Pendant un an nous avons vécu d’amour et d’eau fraîche.
Puis vint le pain blanc, puis vainc le pain noir.
Elle était ma mie. Aujourd’hui, petit à petit, les croûtes s’effacent.

Commentaires

  • Elle me fait miette-miette
    On se fait miette-miette
    Et puis ça y est...

  • Prenez et mangez.
    (vous faites de ces trucs, vous, le matin !)

  • Tout est bon chez elle
    y'a rien à jeter
    Sur l'île déserte
    Il faut tout emporter !

  • Mais quand ça croûte, c'est que la plaie guérit !

  • > bien CUI : ... et ne restent plus que miettes, oui !

    > Zel : café tartine, pourquoi ?
    (car ceci est mon corps... comment va le vôtre, au fait ?)

    > Esperluette : le bon pain se conserve bien, en général (soudain d'enthousiasme je me suis levé... puis je me suis rassis)

    > MC : c'est bien de cela qu'il s'agit, au fond ! (avant je n'aurais pu écrire cette note)

  • espèce de vieux crouton ;-)

  • Raymond Devos est vivant !!

  • > Esperluette : faut dire que parfois elle me menait à la baguette...

    > AD : oh putain, là je rougis. La branchitude officielle pleure Desproges, mais il y en aura d'autes, des Desproges, un jour. Mais Devos, ça, la légèreté l'absurde et l'amour du mot, on ne retrouvera pas de sitôt.

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