A Vienne, la Pute se consomme nature, lis-je.
- Qu’appelez-vous Pute, au juste ? je demande à la jolie blonde qui s’amène vers moi avec une grande brune.
- Ben… C’est une dinde, me dit-elle.
Dix minutes plus tard, ma dinde arrive, énorme, savamment panée (curieuse conception de la nature), avec une triple portion de frites.
Heureusement que la brune était bonne.
Commentaires
Elle était surtout brune.
Fraîche et fruitée à souhait, oui
(les blondes sont d'une légèreté...)
N'est ce pas ?
Ah la belle vie c'est pourtant simple et efficace.
Promis je fais bientôt le ménage
rien à r-ajouter...
> Mathilde : finement pétillantes, aussi.
(avec parfois de très belles chopes)
> David : je ne crains pas la poussière
> Petite Brune : rr
bertrand par contre si tu y es encore
OBLIGATOIRE
Sur Graben : Julius Meinl
Café landtmann
Loos Bar
Librairie Manz
de rien
Longtemps que je n'avais pas lu aussi en verve
Si tu as l'ame d'un roman noir, penche toi, à la John Le Carré, sur les couloirs de l'agence internationale de l'énergie atomique et sur les fameux comptes lippizans viennois. Ceux qui naissent noirs avant de d'aller caracoler, plus blancs que neiges sur les claviers électroniques du Luxembourg. Un vrai poème à méditer au café Central...
ja, ja...
> David : là, je suis plutôt épicerie orientale et Royal Mont Cenis... ;)
> Justine : c'est l'effet Café viennois. L'écriture à la carte.
> Gondolfo : on doit pouvoir méditer ça ici aussi...
Arf tool ate un peu comme les tgvs en ce moment
Tnt pis pour toi, au pire y a un angelina viennois dans un endroit caché de Paris
L'adresse sera donnée sous le manteau évidemment
Angelina ?
(ça tombe bien, avec l'hiver je ne quitte plus mon manteau)