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Carte postale de Vienne (1)

A Paris il fait 5°, disait le journal, ici il en fait une petite vingtaine quand je sors du musée Léopold. Schiele, le Jugendstyl, Klimt et la Sécession, quelques bastons artistiques bien mises en scène – j’ai traversé le musée comme si tout ça s’était passé à Paris, au fond je me sens chez moi en Europe.
Et une nouvelle fois je me dis qu’un jour il faudra que j’entreprenne un voyage projet à la Geert Mak – quand tu seras grand, petit (ou quand tu voudras le devenir).
Dans le Burggarten, je me sens tout aussi chez moi. Vienne laisse peu de place au bordel mais c’est ici que sont nés certains des courants artistiques les plus créatifs. Ce serait pas mal que ce soit pareil dans ma tête, tiens.

Quelques mètres plus tard je me retrouve place Albertine, le nez au vent, à deux pas de l’Office de tourisme. Un sexagénaire m’interpelle en allemand pour me demander leur chemin. Bizarre. Deux minutes plus tard, une jeune femme vient me demander où est la bibliothèque. En Allemand, elle aussi, comme si elle venait de Salzbourg et pensait qu’un vrai Viennois pourrait la sauver.
Damned, je suis un Autrichien.

 

Commentaires

  • Vienne est magnifique, j'adorerais y retourner bientôt...

  • Magnifique je ne sais pas... Mais heureuse surprise, sicher.

  • J'ai adoré aussi... On s'y sent tellement like home. la preuve, pour toi !

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