à portée de main - à portée de doigt, même, il aurait suffi de cliquer sur l'icône qui me disait que des connexions à distance avaient été repérées par mon ordinateur et hop, le Quotidien serait entré là, il me poursuivait jusqu'au bout du monde mais pour une fois j'ai été fort. A la porte, il est resté (et au pub). Du papier, les mouettes, la mer et word, c'est quand même autre chose que firefox, procrastination et trucs à la con.
Reste à trouver la martingale pour faire pareil à Paris.
Ceci dit pour mémoire.
Sinon cherchez plus, le peuple, il est dans La Voix du Nord.
Commentaires
N'était que moi, je parierais bien 1000 commentaires pour cette note.
Hé hé... Je crois qu'il n'est que toi.
Ouais enfin un week-end sans internet c'est déjà trop je trouve.
Les mouettes les mouettes... c'est bien mais ça manque de renard et de pingouins ;)
Je fus solidaire, camarade, et tout comme toi. Sauf que le peuple, il est pas dans Nice Matin, il est sur le cours Saleya, c'est pour cela que j'y ai croisé Christian Estrosi qui disait bonjour à tout le monde (mais connaît il vraiment tout le monde?)
n'empêche que cela m'énerve que personne n'ait remarqué que le titre "trois femmes puissantes" ressemble à "three tall women" traduit en français par "trois femmes grandes" (en fait "trois grandes femmes" aurait été une traduction plus proche dans le sens de "c'est un grand homme" et non un homme grand)
:)
> Netzah : il y avait un renard mort sur la plage (si, si), mais de pingouin nenni. (et vivement la prochaine semaine pas net :)
> Castor : la vraie question - comment devient-on Christian Estrosi ? (j'ai peur de savoir)
> Columbine : pour ma part j'en suis resté aux "Four women" de Nina Simone
> Ecaterina : :)
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