A Vienne j’étais un Autrichien. A peine 250 km plus loin, je pourrais aussi bien être un Hongrois, hein, mais non. D’abord, on se sent moins chez soi quand la ville entière parle une langue impénétrable. Ensuite, le Danube s'est élargi, mon sourire aussi. Et dans la rue on ne m’interpelle plus pour demander son chemin, quand j'arrive quelque part on me salue en disant Hello! même quand je ne porte pas mon uniforme de touriste. 250 kilomètres.
Merde, je dois vraiment être un Autrichien alors.
En vignette de la carte postale : une petite rue tranquille, baignée par le soleil. Des salons de thé, des coiffeurs, des petites cours intérieures. Et puis soudain, une enseigne qui claque : Police Shop. A l’intérieur, des voitures de police miniature, des insignes, un mégaphone, des couteaux, des bombes lacrymo… Comme un indice de la ville qui échappe au touriste.
Et puis, non loin, une librairie. (à suivre...)
Commentaires
Mais, ou sont les bains ? Tu les as fait disparaître? Mais que fait la police (d'accord, elle est mobilisée à Solférino ou on annonce des hordes de casseurs).
Allez, ils arrivent...
(faut toujours prendre une douche, avant)
Hi Bertrand !
Pas de commentaire sur l'élection de ton ex hégérie à la tête du PS ?
En vrai, c'est aussi beau.
> Bouboune : ah non ! j'ai comme une indigestion de commentaires, là, et ils n'en méritent pas un...
> f : en vrai, c'est mieux