Google m’a parlé de toi, ce matin. Et franchement, je dois dire que tu progresses.
Bien sûr, tu es toujours fasciné par les décolletés d’Ariane Massenet, bien sûr dans tes moments d’égarement tu rêves qu’Elise Chassaing ôte ici ses vêtements...
Mais la plupart du temps c’est moi que tu cherches (salut) – ou alors des personnes de valeur : Laura Alcoba, Antoine Bello, Joy Sorman, Kallauze, Miss Belgique ou Anna Gavalda (cherchez l’intrus). Ça fait plaisir.
Cela dit, je dois te l’avouer, j’étais presque déçu que jamais tu ne viennes m’amuser par de truculentes requêtes – de celles qui me feraient rire ou qui m’en apprendraient sur toi.
Jusqu’à la semaine dernière.
Tout a commencé gentiment avec ce "fond d’écran lapin" intrigant. Puis il y a eu "porno gratuit vieilles femmes avec jeunot", ma première vraie requête classée X, d’une classe folle.
Ensuite tu t’es repris : "Sollers pile ou face", "Distributeur à café grand public" ou "Synonymes de niquer", c’était sympathique.
Mais surtout, Google me dit qu’hier tu as tapé dans ton petit moteur : "Caroline truc". Je voudrais m’arrêter un instant sur cette requête : tu avais donc entendu parler d’une Caroline dont tu ne te souvenais plus du nom de famille ("mais si, tu sais, Caroline truc, là, celle qui...") et tu as vraiment cru que Google allait t’aider. Que Google était un nouveau dieu (il existe bien une Church of Google...).
Allez, je suis sympa, je ne dirai pas aux lecteurs de ce blog combien de pages tu t’es tapé avant d’atterrir ici.
Caroline Truc.
En tout cas tu m’as bien fait rire, reviens ici quand tu veux, j’aurai peut-être un peu plus de temps pour m’occuper de toi.
Cette semaine, par exemple. Parce que cette semaine, c’est Salon du livre, et que mon roman a enfin trouvé son titre. Je t’en reparlerai, si tu veux.
Allez, allons voir ailleurs si le monde y est, et à bientôt !